La semaine mondiale de l’allaitement maternel, the World breastfeeding week (WBW) est organisée par l’Alliance Mondiale de l’Allaitement Maternel (WABA) depuis 1992.
A l’origine pour soutenir la déclaration d’Innocenti (1er août 1990), la SMAM se déroule dans de nombreux pays du 1er au 7 août.
En Amérique du Nord, ainsi qu’en communauté française de Belgique, elle a lieu du 14 au 20 octobre de chaque année.
En France, elle est relayée par la CoFAM et elle a lieu la 3ème semaine d’octobre.

Découvrez le slogan de la Semaine Mondiale de l’Allaitement Maternel 2024

Closing the gap !

Réduire les inégalités : soutenir l’allaitement pour tous 

• Visiter le site dédié à la World Breastfeeding Week

À l’occasion de la Semaine mondiale de l’allaitement maternel, l’UNICEF et l’OMS appellent à un accès égal au soutien à l’allaitement maternel :

• Lorsque l’allaitement maternel est protégé et soutenu, les femmes sont deux fois plus susceptibles d’allaiter leur enfant. Il s’agit d’une responsabilité partagée. Les familles, les communautés, les professionnels de santé, les décideurs politiques et les autres décideurs jouent tous un rôle central en :    
  • en augmentant les investissements dans les programmes et les politiques qui protègent et soutiennent l’allaitement maternel grâce à des budgets nationaux dédiés
  • en mettant en œuvre et en contrôlant des politiques favorables à la famille sur le lieu de travail, telles que des congés de maternité rémunérés, des pauses d’allaitement et l’accès à des services de garde d’enfants abordables et de bonne qualité
  • veiller à ce que les mères à risque dans les situations d’urgence ou les communautés sous-représentées bénéficient d’une protection et d’un soutien de l’allaitement en fonction de leurs besoins spécifiques, y compris des conseils efficaces et opportuns en matière d’allaitement dans le cadre de la couverture médicale de routine
  • améliorer le suivi des programmes et des politiques d’allaitement afin d’informer et d’améliorer les taux d’allaitement
  • élaborer et appliquer des lois limitant la commercialisation des substituts du lait maternel, y compris les pratiques de marketing numérique, avec un suivi permettant de signaler systématiquement les violations du code.